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Album 2017

  • L'Auriasque - 07.12.2017

    10 L'Auriasque - 07.12.2017
    Rando menée par Régis
  • Mont-Vinaigre - 30.11.2017

    18 Mont-Vinaigre - 30.11.2017
    Nous nous sommes retrouvés 22 participants pour une randonnée au Mont Vinaigre, point culminant de l’Estérel, sous un ciel étincelant et une température hivernale. Nous étions dans le plein cœur de l’Estérel, vieux massif volcanique, coincé entre mer et montagne. Alpes et maritimes définissent au mieux notre terrain de « jeu ». Deux mots en apparence contradictoires. L'un renvoie aux sommets, une image enneigée, immaculée ; l'autre aux golfes d'azur profond. Mais la richesse profite des différences, naît des rencontres. Le brassage à l'échelle géologique ou plus simplement humaine a redistribué les cartes, isolant des portions de territoires, obligeant plantes et espèces animales à se développer en vase clos. Et puis l'histoire s'est déroulée, vaste et longue : notre histoire, ce que nous sommes ... est tellement riche de confrontations et de contradictions ! Alors, enrichissons-nous de ces contrastes : marchons, battons de nos enjambées tous les sentiers de randonnée, martelons-les de nos pas, prenons le temps de la réflexion, échangeons, échangeons encore et embellissons-nous mutuellement la vie. Et gardons au plus profond de nous cette réflexion d'Ella Maillart « Je sais, d'expérience, que courir le monde ne sert qu'à tuer le temps. On revient aussi insatisfait qu'on est parti. Il faut quelque chose de plus ». Pour cela, vous avez, vous le savez tous, T.E.R.R.E., car la randonnée, c'est                                   THEOULE ESTEREL RENCONTRES EUROPEENNES !                            Bernard.
  • Le Dramont - 16.11.2017

    9 Le Dramont - 16.11.2017
    Rando menée par Pierre
  • Chemin de Cécile - 23.11.2017

    10 Chemin de Cécile - 23.11.2017
    Randonnée menée par Pierre.
  • Gros Pons - Cipières 19.11.2017

    27 Gros Pons - Cipières 19.11.2017
    Nous étions 11 (ne manquait que Sophie dont la pensée nous a suivis tout au long de cette randonnée qui aurait dû être la sienne) à nous réunir au cœur de l'Automne, qui nous a gratifiés d'un ciel resplendissant et d'un air d'une grande douceur, à nous diriger, pour un aller-retour de 8,300 kms vers l'imposante Borie de Pons. Nous avons progressé au milieu des chênes verts, parmi les « gratte-culs » (pardon les « cynorrhodons »), scintillants de mille rubis et les ronciers si revêches, dans l'odeur du thym, de la pèbre d'ail et de la menthe poivrée. Partout, ce ne sont que des champs de pierres, quadrillés par d'imposants murs, bâtis de mains d'hommes, vestiges et témoins d'un labeur ancien, incessant et entêté, jadis grenier à blé de toute la région grassoise. Nous avons progressé dans cette garrigue insolente et ces amoncellements pierreux que l'homme et le temps ont fabriqués. Pour quelques grains de blé récoltés, combien de terre et de pierres transportées ? Pour des lendemains incertains, combien de souffrances endurées ? Comment peut-on de nos jours comprendre cette ténacité, cette opiniâtreté, cette obstination et cet acharnement, si l'on ne met pas en face la misère, l'espoir et la fierté ? Depuis longtemps, genets et buissons ont remplacé le blé mais pour toujours des murailles se dressent fièrement pour nous rappeler que des hommes, durant plusieurs vies, en dépit d'un pauvre sort, ne cessèrent jamais d'honorer cette terre ingrate où ils dorment désormais en paix, Un pique-nique festif et convivial nous a tous réunis devant cette magnifique et majestueuse Borie de Pons, si remarquablement conservée. Au retour, nous avons continué de boire (avec modération !) au « petit bar » de Cipières, pour la modique somme de 1,70 euro par personne !    Bernard  
  • St-Jean-Cap-Ferrat 16.11.2017

    31 St-Jean-Cap-Ferrat 16.11.2017
    Une magnifique randonnée ensoleillée de 13 km pour 120 m de dénivelé et 10 participants dans une belle ambiance, riche d’échanges, de convivialité et de bonne humeur. Il y eut d’abord le bleu, le cobalt et l’indigo de la mer, tous ensemble intimement mêlés, la mousse blanche des embruns à la crête des vagues, le vif argent des rochers, le vermeil, tout en irisation, associé au gris crémeux des roches éclatées. La côte est partout dentelée par de sombres anfractuosités qui contrastent avec le blanc éclatant des rochers, et, en fond sonore, le mugissement incessant des vagues qui, inlassablement, viennent se fracasser sur les dents acérées des rochers. La mer, crémée par une frange d’écume laineuse, a creusé de profondes entailles dans les rochers, résultat de l’affrontement immémorial et toujours renouvelé de la mer contre la terre. Il y a des villas « belle époque », aux façades fardées telles des « courtisanes », avec des frontons festonnés par des allégories d’inspiration grecque, comme autant de bandes dessinées. Il y a aussi l’épure radicale des maisons d’architectes qui se gonflent d’importance, avec, en contrepoint, dans le vert émeraude et le vert sombre des résineux, les circonvolutions tourmentées des branches maîtresses des pins d’Alep au bord du chemin, torturés pendant des décennies par la démence d’un mistral en folie, tandis qu’à leur pied un fort vent entretient le roulis de folles graminées turbulentes. Et puis, il y eut le phare, monolithe de pierres appareillées, dressé contre le ciel, vigie lumineuse et salvatrice au cœur de la nuit. Il y eut aussi ces pépites de lumière qui nous ont éblouis dans un ciel de verre éclatant en bleu et blanc, refermé au-dessus des arbres enluminés avec le scintillement moiré d’un rayon lumineux au travers des branches de pins. Il y eut, encore et toujours, au bord du sentier, la mer, cuirassée d’écume, étincelante au soleil de mille éclats, comme un miroir brisé qui bouillonne, lâche ses chiens fous, vient s’affronter aux rochers et mourir sur le rivage, en glapissant sa défaite inexorable une dernière fois. Toutes ces impressions et ces sensations célèbrent les noces de l’homme avec la nature, et particulièrement tout autour de l’isthme de Saint Jean Cap-Ferrat.    Bernard.
  • Dent de l'Ours - 02.11.2017

    12 Dent de l'Ours - 02.11.2017
      Rando menée par Régis.
  • La forêt royale - St-Paul-en-Forêt 26.10.2017

    18 La forêt royale - St-Paul-en-Forêt 26.10.2017
    « Royale » fut cette randonnée dans et tout autour de la forêt éponyme, dans le Var, à Saint-Paul en Forêt, la bien nommée. Nous étions 18 participants et il était 9 heures au moment de notre départ. Nous avons d’emblée été saisis par un froid mordant, aux alentours de 5°. Peu ou mal équipés pour certains, ce fut une piqure de rappel pour nous dire que nous sommes bien entrés de plein pied dans l’automne. Nous l’avons appris à nos dépens en ce début de matinée et nous avons ainsi eu la preuve que la nature est peu à peu entrée dans une période de dormance pour plusieurs mois et ne se réveillera pas avant le retour du printemps. Le circuit dessine un grand huit, comme dans certaines fêtes foraines. Il est long d’un peu moins de 12 km, avec un modeste dénivelé de 230 m, et joue tantôt à saute-collines, tantôt plonge dans les vallons. Le sentier, parfois étroit et sinueux où l’appui des pieds se fait souple et élastique, parfois large et presque rectiligne, sinue dans une ample forêt, retournée largement aujourd’hui à un état presque sauvage, proche d’une forêt primitive. Nous marcherons d’abord le long de l’Endre, fleuve côtier provençal, ombragé et sauvage, aux eaux miroitantes, sous le couvert de sa splendide ripisylve, en admirant au passage les ruines imposantes d’un moulin hydraulique à huile, moulin à roue horizontale dit « moulin à rodet », qui fonctionnait encore au 19 ème siècle du temps où le débit du fleuve suffisait à l’activité des meuniers. Le fleuve (mais comment parler encore de fleuve) n’est que l’ombre de lui-même. Son lit est parfois totalement asséché et seules subsistent, çà et là, quelques mares captives, miroirs d’eaux immobiles aux reflets argentés, recouvertes d’une multitude de feuilles mortes. Comment imaginer que ces minces filets d’eau puissent se transformer parfois, en quelques heures, en crues dévastatrices et meurtrières. Au long de notre progression, dans cette antique forêt d’ubac, dont le charme occupe les vallons, le chêne pubescent en bas des pentes tandis que le chêne liège colonise le haut des pentes avec ses sous-bois à myrtes et lentisques, nous suivrons successivement la piste de Souliès, puis la piste de Fontcounille avant de descendre dans le vallon de l’Ubac de Castel Diaou et le vallon de Fontcounille et finir par la piste Forestière jusqu’à traverser à gué un ruisseau, affluent de l’Endre, avant de rejoindre le point de départ. Nous nous arrêterons pour la « pause banane » en lisière du hameau de Tournoune, la pause déjeuner intervenant sur le chemin du retour, confortablement appuyés contre les ruines d’un deuxième moulin à huile. Aucun peintre, impressionniste ou pointilliste, quel que soit son talent, ne pourra jamais posséder une palette de couleurs aussi riche comme sait le faire la nature dans son génie pictural avec cette infinie profusion de nuances dans les verts, les bruns, les oranges, les rouges, les jaunes, les ocres et toute cette richesse de couleurs cuivrées, rouillées ou mordorées. Au total, une randonnée facile et très agréable ; une randonnée à refaire une autre année certainement et au Printemps sans doute.   Bernard.
  • Île Sainte-Marguerite Rando santé - 17.10.2017

    8 Île Sainte-Marguerite Rando santé - 17.10.2017
    Rando santé menée par Pierre.
  • Barrage Malpasset - 10.10.2017

    6 Barrage Malpasset - 10.10.2017
    Il porte bien son nom celui-là ; mal passée sa rupture le 2 décembre 1959 suite à des pluies torrentielles ininterrompues pendant plusieurs jours. Pour nous faire voir et connaître cette catastrophe, l’Association TERRE avait programmé une « Rando-Santé » in situ. Ce que l’on ne se doutait pas, était que barrage et météo ne faisaient toujours pas bon ménage et il a fallu annuler à deux reprises. Mais mardi 10 octobre, c’était bon. Sous un soleil radieux, un minibus et trois voitures (merci les bénévoles) ont véhiculé à Fréjus les participants à la rando-santé. Comme toujours, à titre gracieux. Chemin faisant, à pied, Pierre nous a montré les blocs de béton gigantesques, lourds comme un immeuble, détachés du barrage, et charriés sur plusieurs centaines de mètres par un déferlement apocalyptique de 50 millions de m3 d’eau. De leurs entrailles sortait le gros ferraillage, distordu en sculptures surréalistes par la force infernale de l’eau. Nous avons goulûment bu les explications aussi claires que l’eau – eh oui, rando-santé oblige ! - proposées gentiment avec les biscuits par Annick à l’heure du goûter. Puis nous sommes passés de ce non-savoir faire au savoir-faire en admirant un peu plus loin les « Arches Sénéquier », vestiges d’un aqueduc romain vieux d’environ 2000 ans ; du bonheur !! Et quel bel aboutissement pour cet après-midi instructif et sportif que d’adoucir une émotion oppressante par une émotion finale esthétique.   Pauline
  • Mal Infernet 12.10.2017

    23 Mal Infernet  12.10.2017
    Nous sommes partis, 18 participants plus un chien (« Milou »), à 9h15 le 12 Octobre du parking du col de Belle Barbe, pour remonter, sous la conduite de Pierre, le ravin du Mal-Infernet jusqu’à « feu » le lac de l’Ecureuil. Cette randonnée sera longue de 9 kilomètres pour un dénivelé de 150 mètres, dans une atmosphère radieuse d’un début d’Automne qui peine à quitter l’été, sa chaleur et sa sécheresse. Nous marcherons tout du long sur un large et confortable sentier qui longe le fond du ravin et sa rivière aujourd’hui totalement asséchée. Ici et là jaillissent des murailles déchiquetées de roches rouges. Les pentes sont hérissées de pics et de tours de pierre. Tout est obélisques ruinés, tout est murailles cyclopéennes abattues, tout est lacis de barbelés factices qui réclameraient la plus grande vigilance s’il nous arrivait de nous y aventurer. Tout le long du ravin, c’est un formidable déroulé de pics dont les pentes sont entrecoupées par de larges cônes d’éboulis. Partout, des donjons de pierre surgissent des profondeurs du ravin. Tous ces colosses parlent le même langage, poussent la même incantation : c’est le chant profond de la terre, entêté et éternel. Au long du chemin, nous sommes passés près de plusieurs sources fluides et mystérieuses dont un clair filet coulait dans le creux d’une pierre excavée pour le recueillir précieusement. Un faux plat montant nous conduit à un gué, aujourd’hui à sec, en aval du déversoir du lac de l’Ecureuil, qui nous permet de passer en rive droite. Le lac est un rêve évanoui, encore vivant sur les cartes et dans la mémoire de quelques-uns. C’est ici que nous sacrifierons à la traditionnelle « pause banane » devant « feu » le lac de l’Ecureuil, avant de « tourner casaque » et de prendre le chemin du retour qui, par une traversée du ravin sur une passerelle métallique suivie d’une montée au col Aubert, nous permettra de regagner le parking du col de Belle Barbe après une longue descente malaisée à l’aplomb du pic du Baladou. Ce fut une agréable randonnée très minérale dans l’ambiance d’un Automne à peine naissant.   Bernard
  • Baou Blanc - 05.10.2017

    10 Baou Blanc - 05.10.2017
    Parvenus au parking du Plan des Noves, point de départ de notre randonnée du jour au Baou des Blancs, en passant par les Blaquières, nous suivons d’abord le GR 51 pour effectuer le circuit du Plan des Noves. Parvenus au Grand Plan des Noves, la nature se révèle, somptueuse, aride et immense. On pourrait presque se croire au centre du monde ! Le temps est beau, avec quelques brumes qui se coulent entre les Baous dont nous ne pourrons deviner que quelques profils en ombres chinoises, notamment celui du Baou de Saint-Jeannet qui offrira à notre admiration, un court moment, son imposante et hiératique stature. Passant au large de la combe Martine et délaissant le chemin de Mangia Pan que nous devrions emprunter pour le retour, nous poursuivons par les Blaquières, avec, devant nous, en permanence, la vue sur notre objectif final, le Baou des Blancs, haute falaise calcaire, admirablement située sur un piton rocheux, dominant la cité de Vence et les collines avoisinantes, jusqu’à la mer. Il est couronné d’une croix monumentale dont la plate-forme sommitale est occupée par les vestiges de la Bastide Saint-Laurent. Il est riche de mystères et de légendes : épopée de la Commanderie des Templiers et les supputations concernant leur trésor, notamment le Baphomet, une mystérieuse idole en or, etc.   On peut y distinguer aussi les vestiges d’un mur d’enceinte, les restes d’une chapelle et d’une citerne bâtie à même le rocher. Arrivé en vue de la partie finale de la randonnée et ne pouvant raisonnablement terminer l’ascension, j’ai laissé à Gilles le soin de conduire les quatre « gazelles » du jour jusqu’au sommet du Baou des Blancs, ce qu’il a fait en montrant l’étendue de sa maitrise et de son autorité dans ce genre d’entreprise. Merci à elles et à lui d’avoir ainsi, et de très belle manière, parachevé cette très belle randonnée au Baou des Blancs qui garde pour moi un goût d’inachevée mais ce n’est que partie remise.   Bernard
  • La Duchesse - 28.09.17

    20 La Duchesse - 28.09.17
    Rando menée par Régis.
  • Rocher des Monges- 21.09.2017

    9 Rocher des Monges- 21.09.2017
    Rando menée par Régis
  • Coursegoules 21.09.2017

    12 Coursegoules 21.09.2017
    Nous étions 9, en ce dernier jour de l’été, partis pour l’arrière- pays niçois, afin de réaliser un parcours en boucle, dénommé « les crêtes de Coursegoules » au- dessus du village éponyme. Nous partons dans une certaine fraîcheur matinale, prémices de l’automne proche, mais le soleil, encore bas sur l’horizon, nous garantit une journée radieuse. Il fera 20° au plus chaud de l’après-midi. Coursegoules, village perché du 13ème siècle, est un belvédère sur la Méditerranée, adossée aux contreforts de la chaîne du Cheiron. Avec son dédale de pittoresques ruelles en escaliers, il révèle une superbe harmonie architecturale faite de maisons pour la plupart d’origine médiévale, bâties avec la pierre de la région d’un gris légèrement irisé et coiffées de tuiles romanes. Toute la randonnée s’est déroulée dans un adret dénudé, marquée au départ par une lente progression ascendante au travers de belles restanques, autrefois cultivées pour les roses, à destination de Grasse, et qui constituaient aussi le grenier à blé de Vence. Nous nous sommes arrêtés pour la « pause banane » à proximité de la chapelle Saint  -Michel, datant du 11ème siècle, et très bien restaurée. Dans ce versant, à l’adret, la végétation est principalement buissonnante (thym, romarin, lavande ...) et peu arbustive (quelques chênes, noisetiers, de jeunes feuillus ...) roussie et même brulée par une trop longue sécheresse. Une montée ardue composée de pas moins de 16 lacets empilés conduit au départ de la longue crête du Vieriou/Cheiron, faite d’un ensemble de roches karstiques et parsemée de cavités et de failles dues à l’érosion et qui rendent la progression aléatoire et passablement difficile. Le parcours sur la crête, ancien chemin muletier, consiste à suivre un vague sentier cairné qui joue aux montagnes russes entre les deux versants de la montagne, avec un passage au- dessus de la bergerie en ruine de Font Rousse. Depuis la crête, la vue est panoramique. On peut apercevoir quelques-uns des sommets du Mercantour et, plus près, s’étale la crête du Cheiron avec sa cime éponyme et la cime de Jérusalem. On aperçoit aussi, dans le fond de la vallée, le village de Gréolières. Au sud, on peut voir le profil tourmenté du Baou de Saint Jeannet et, sur une large bande côtière briller la Méditerranée, couleur d’argent en fusion, depuis Nice jusqu’aux rochers rouges de l’Estérel et, dans les lointains, le golfe de Saint Tropez et le massif des Maures. Certains, même, crurent voir se dessiner la Corse, en filigrane, sur la ligne d’horizon (et, ils avaient raison car c’était avant le vin d’orange !). Entre buis et genêts, relativement abrités du vent sur la crête, nous avons profité d’une agréable et conviviale pause repas, agrémentée par un délicieux vin d’orange, généreusement proposé par Raymond. Pour finir cette belle randonnée, nous sommes redescendus sur Coursegoules par la Baisse de Viériou, en passant devant les ruines de la bastide éponyme. Au total, rouillés par plusieurs semaines d’inactivité randonneuse à cause d’une insupportable canicule, nous avons été quelques-uns à dérouiller sur les 8km600 et les 454m de dénivelé, dont votre serviteur. Mais quel pied ! Vivement la prochaine !    Bernard.  
  • Pointe l'Esquillon - 07.09.2017

    5 Pointe l'Esquillon - 07.09.2017
    Belle petite randonnée de reprise en ce jeudi 7 septembre … Départ du parking du Vallon de l’Autel pour rejoindre La Croix de Lorraine via le Col de Théoule. Contournement du Palais Bulle pour ensuite remonter jusqu’à la Pointe de l’Esquillon. La table d’orientation a été complètement refaite suite aux dégradations provoquées par quelques « imbéciles » … Une belle réussite avec la reprise également du banc en partie inférieure, face à la mer … Retour ensuite par la plage avec la descente dans le Parc Départemental de la Pointe de l’Aiguille. 10 participants, 9,6 km et 220 m de dénivelé.   Pierre Decherf
  • Seillans 29.06.2017

    21 Seillans 29.06.2017
    Rando & repas fin de saison
  • Gorges Artuby - 15.06.2017

    33 Gorges Artuby - 15.06.2017
    Rando menée par François.  
  • N.Dame Fontaines- La Brigue 08.06.2017

    27 N.Dame Fontaines- La Brigue 08.06.2017
    Sur une idée originale de Raymond, une mise en scène soignée dans les moindres détails par Pierre, au milieu du décor somptueux de la vallée de la Levenza, avec les commentaires précis et inspirés d'un conférencier, guide du Patrimoine, le tout devant un public attentif et réceptif, le rideau s'est levé sur une pièce en trois actes, dont le premier, sans doute le point d'orgue, a eu pour cadre la chapelle Notre-Dame-des-Fontaines. Sa renommée est telle qu'on l'appelle « la chapelle Sixtine des Alpes du Sud ». C'est un chef-d'œuvre absolu, enserré au pied d'un cirque de montagnes, dans le fond d'un frais vallon. La chapelle se trouve au bout de la vallée de la Levanza, à un endroit où surgissent sept sources, dont celle qui sort sous l'emplacement même de la chapelle. Un important chemin muletier, conduisant vers la Ligurie, passait par la chapelle et on avait sans doute intérêt à s'y arrêter avant de poursuivre la montée, toujours périlleuse vers le col, et invoquer la protection de la Vierge. Son site est lié à une convergence de signes symboliques qui en font un lieu de prédilection pour toute une humanité à la recherche d'une protection de la puissance divine. L'intérieur de la chapelle est entièrement recouvert par au moins 220 m² de peintures murales, des retables pour la majorité d'entre elles. Elles retracent la vie de la Vierge dans le chœur et celle du Christ sur les murs latéraux en 25 tableaux. Les peintures datent de 1492 et sont l'œuvre respectivement de Giovanni Baleison et Giovanni Canavesio, tous deux peintres originaires du Piémont. C'est un art populaire provençal naïf, pittoresque et savoureux. Cette petite chapelle, couverte de fresques concernant Marie et la Passion du Christ, est un véritable catéchisme mural qui permettait l'éducation religieuse d'un peuple catholique qui ne savait pas lire. Pour certains, les fresques délivrent non seulement un message religieux, mais également un message caché. Fin du premier acte. Le deuxième nous a permis de redescendre vers La Brigue, par le sentier dit d'interprétation, sous le frais et dense couvert d'une forêt d'altitude, peuplée de chênes, de pins sylvestre et d'épicéas ; un parcours tout en montagnes russes, long d'environ 6 km pour 150 m de dénivelé. Sur le parcours, des dizaines de panneaux didactiques égrènent les richesses de la flore et de la faune locale. L'entracte intervint à la fin du sentier d'Interprétation, avant que ne commence le troisième acte, dans un espace dédié aux agapes de la pause déjeuner où nous nous égayâmes autour de quelques tables et sous une gloriette, à l'ombre bienvenue de quelques arbres. La pause déjeuner fut enrichie pour certains par une sieste réparatrice, consommée sans modération, comme le fut un rosé bien frais, itou. Le dernier acte nous vit, rassemblés et toujours attentifs, déambuler dans le village de La Brigue, classé monument historique, sous la conduite émérite et toujours richement documentée de notre guide dont la connaissance exhaustive des lieux, des dates et des traditions, entre autres, ont fait l'admiration de l'ensemble du groupe. Nous avons parcouru de nombreuses ruelles pavées, visité la Collégiale Saint-Martin qui abrite un retable de Louis Bréa, la chapelle de l'Annonciation, dite « supérieure », chapelle des Pénitents Blancs, la chapelle de l'Assomption, dite « inférieure », le château Lascaris, vestige du site castral, demeure fortifiée seigneuriale, le Cà d'Arbinée (maison des abeilles) avec ses multiples ruches, dont les murs gardent la chaleur et l'amplifient, permettant aux abeilles de travailler plus, pour un miel plus abondant et de meilleure qualité, etc... Nous avons vu de nombreuses façades en trompe-l’œil, de très nombreux linteaux sur ces mêmes façades, accompagnés de textes en bas-reliefs ou incisés dans la pierre ; certains décorés de motifs religieux, d'autres d'armoiries et d'initiales de familles, d'autres enfin portent des phrases d'ordre moral ou religieux. Ainsi s'acheva cet intermède heureux, avant que nous retournions à la rencontre de nous-mêmes et des autres sur d'autres chemins... enchantés eux-aussi.   Bernard
  • Ste-Marguerite - 01.06.2017

    16 Ste-Marguerite - 01.06.2017
    Rando menée par Régis
  • Forêt de Thorenc - 25.05.2017

    42 Forêt de Thorenc - 25.05.2017
    Rando menée par François.
  • Tour 2 Pics - 25.05.2017

    9 Tour 2 Pics - 25.05.2017
    Rando menée par Bernard
  • Rando santé - Ile St-Honorat 16.05.2017

    37 Rando santé - Ile St-Honorat 16.05.2017
    L'île Saint-Honorat, ces deux épithètes mises côte à côte, sont le signe sensible que nous nous trouvions dans un îlot de profonde spiritualité pour cette exceptionnelle rando-santé du Mardi 26 Mai 2017, sur une île pourtant fortement immergée dans notre siècle. Certains croient au ciel et d'autres n'y croient pas. A Saint-Honorat, la même ferveur heureuse, qu'elle soit laïque ou religieuse, nous a réunis pas à pas, de tours en détours, sans que nous puissions en épuiser les richesses infinies. L'île entière est une prière.  Ses nombreux sentiers jalonnés de 7 chapelles sont autant de chemins d'espoir pour des hommes en quête d'humanité. Elle délivre au monde un message d'amour, de paix et de tolérance, jour après jour. Le point d'orgue de cette randonnée fut, sans conteste, la visite du monastère fortifié dont la masse imposante et cependant élégante se dresse sur la rive sud de l'île. Construit à partir de la fin du 11ème siècle, il comptait, à l'origine, 90 pièces dont 30 cellules pour les moines, 1 église et 3 chapelles. Il reste, en l'état, un témoin important de l'art religieux et militaire des siècles passés avec, notamment, 2 cloîtres superposés, un escalier à vis dont les marches sont faites de pierres rouges de l'Estérel, apportées depuis le port de Théoule. Du sommet de la forteresse, la vue s'étend de l'Estérel jusqu'au Cap d'Antibes avec les sommets du Mercantour en arrière-plan. Ce monastère fortifié était habité par les moines dans les 2 étages inférieurs et par une garnison militaire dans les étages supérieurs. Les reliques de Saint-Honorat reposaient dans la chapelle Sainte-Croix, faisant de ce lieu le « saint des saints » de l'Abbaye. Son originalité réside dans la dualité entre l'architecture militaire de l'extérieur et les divers espaces religieux construits à l'intérieur. Après le déjeuner pris dans un espace dédié, nommé Saint-Salvien, que nous avons partagé dans un esprit de connivence et d'amicale complicité, le café nous fut offert par frère Antoine, cellérier de l'Abbaye de Lérins, avant qu'il ne se prête, avec humour et profondeur, au jeu des questions-réponses sur quelques points relatifs à l'histoire des Cisterciens et à leur pratique dans le siècle. Frère Antoine et Agnès, bénévoles à l'association Fondacio, nous ont invités, avant de repartir pour le continent, à revenir à Saint-Honorat, probablement en Octobre, invitation à laquelle nous ne manquerons pas de répondre avec bonheur. Saint Honorat est « l'antichambre du Paradis » comme aimait à le dire frère Marie-Pâques, ancien hôtelier de l'Abbaye de Lérins.    Bernard
  • Escragnolles - Cascade 11.05.2017

    24 Escragnolles - Cascade 11.05.2017
    Rando menée par François
  • Plateau de la Malle 04.05.2017

    33 Plateau de la Malle 04.05.2017
    Nous étions 11 participants pour cette randonnée qui a débuté au Tennis de Grasse en attaquant la montée abrupte du GR4 heureusement bien ombragée. Après avoir quitté le GR4, nous avons emprunté la route à gauche (Altitude 974m ) qui mène directement au centre Radioélectrique (Altitude 1215 m).  Cette route est très agréable, avec une belle vue sur le littoral.  Malgré un temps couvert on a pu apercevoir Cannes, Grasse, Cabris, le Lac de St-Cassien ... Après avoir atteint le sommet aux antennes- radio, nous sommes redescendus pour pique -niquer dans une clairière en bordure du domaine de St-Christophe.  Le retour s'est effectué ensuite par le même itinéraire qu'à l'aller, soit une distance totale de 11,7 Km avec 615 m de dénivelé (sans difficultés particulières). Si nous avons essuyé une averse dans la matinée, la randonnée est restée malgré tout agréable par les points de vue sur le paysage environnant grâce à quelques éclaircies.   Sophie
  • Pont du Loup - Andon - 27.04.17

    24 Pont du Loup - Andon - 27.04.17
    ‌Rando menée par François.
  • Mont-Vinaigre - 27.04.2017

    13 Mont-Vinaigre - 27.04.2017
    Rando menée par Régis Buisson.
  • Bargemon – Jeudi 20 avril 2017

    49 Bargemon  –  Jeudi 20 avril 2017
    Bargemon, pépite émergeant juste au-dessus du vert tendre des collines avoisinantes, Bargemon, la « Perle » du Haut Var, épithète très largement méritée que des siècles et des siècles du labeur opiniâtre et incessant de ses agriculteurs et de ses bâtisseurs ont propulsée à un haut niveau d'excellence environnementale ; Bargemon, d'où nous sommes partis, 22 participants, pour une randonnée en boucle d'une douzaine de kilomètres et d'un peu plus de 260 mètres de dénivelé. Nous avons commencé notre circuit par une traversée du vieux village en remontant des rues étroites, accrochées à la pente, pavées à l'ancienne, avec, de place en place, d'anciennes fontaines de très belle facture. Sortis du village par quelques sentiers détournés, nous arrivons bientôt auprès d'un oratoire qui s'orne de l'imitation naïve d'une icône, à partir duquel nous pénétrons dans le bois de la Coste, but premier de notre randonnée. Progressant en montée sur d'agréables sentiers, nous côtoyons d'abord de vastes propriétés agricoles dont une se pare d'un jardin potager, tiré au cordeau, qui est un modèle du genre. Le bois de la Coste, abondamment peuplé de chênes et de pins sylvestres, doit faire le bonheur des mycologues amateurs quand la saison arrive et que le temps s'y prête. Les pins sylvestres ont une allure massive, des branches torturées, et la partie haute des troncs se colore de rose ou d'orange saumon. En lisière du bois et en bordure du plateau, la vue plonge sur le village de Bargemon au milieu d'un amphithéâtre de montagnes et, plus loin, on peut apercevoir le village de Claviers. Plus loin encore, se dessine un panorama immense, avec le massif de l'Estérel, les sommets du pic de l'Ours et du mont Vinaigre, le rocher de Roquebrune, le massif des Maures et le golfe de Saint-Tropez. Au retour, les sacs à dos se sont gonflés de diverses cueillettes, asperges sauvages et autres plantes condimentaires. Ils ont pris peu à peu l'allure de hottes empanachées par des brassées de thym en fleur. Le retour aux voitures s'est déroulé dans la joie d'une belle randonnée conviviale et fraternelle, très apaisante en ces temps si troublés, accomplie sans encombre et marquée au final par un pot pris dans la bonne humeur au bistrot du village.   Bernard
  • Porfaits & Aigre - 13.04.2017

    8 Porfaits & Aigre - 13.04.2017
    Il aurait fallu être un « HOMO BOTANICUS » plutôt qu'un « HOMO SAPIENS » pour connaître et savoir nommer toutes ces fleurs que les pluies et le soleil de ce début de Printemps ont fait éclore en nombre dans l'Estérel. L'or des genêts, épars sur le bord du chemin et sur les collines, a remplacé celui des mimosas, maintenant fanés. Nous avons vu des Asphodèles en début de floraison, des Cistes à feuille de Sauge, des Lauriers sauce, le mauve des Iris nains, des Genévriers cades, de la Myrte, cette fleur d'amour au parfum subtil, des lavandes papillon avec leur houpette violacée, de nombreuses fougères dans les taillis contrastant avec le violet des arbres de Judée, etc. Faisant fi de toute superstition, nous nous sommes retrouvés à 13 participants un 13 Avril pour accomplir une randonnée en boucle dans l'Estérel en partant du col du Testanier ! Nous avons d'abord emprunté le GR qui conduit au mont Vinaigre. Nous l'avons laissé à la hauteur de la maison forestière du Malpey, pour nous diriger ensuite par le large et confortable sentier du Porfait jusqu'au carrefour de Roche Noire. Chemin faisant, nous sommes passés devant la « cantine » du Porfait, fréquemment utilisée par quelques chasseurs pour leurs traditionnelles « agapes » ; puis, nous avons été dominés par le Petit Porfait et, enfin, le Grand Porfait. Parvenus au carrefour de Roche Noire, nous avons progressé sur un étroit sentier, à la pente ascendante non négligeable, qui nous a conduits à croiser le GR 49. De là, en quelques hectomètres et toujours en montant, nous avons atteint le sommet de l'Aigre (450m), également point culminant de notre randonnée. Une descente rapide et quelque peu malaisée nous a permis de retrouver la maison forestière du Malpey, puis les voitures en empruntant le GR déjà parcouru à l'aller. Au final, une randonnée en boucle de 8,500 km pour 260 m de dénivelé. L'ambiance fut comme la température : printanière et primesautière.   Bernard. 
  • La Duchesse - 06.04.2017

    9 La Duchesse - 06.04.2017
    Rando menée par Régis.
  • Mons - 06.04.2017

    58 Mons - 06.04.2017
    Rando menée par Marie France
  • Pic de l'Escale - 30.03.2017

    7 Pic de l'Escale - 30.03.2017
    Seize aura été le chiffre du Jeudi 30 Mars 2017 pour la randonnée intitulée « le tour du pic de l'Escale ». Seize pour seize participants partis du parking inférieur de la gare du Trayas, en bordure de la route de la corniche d'Or. Dès le départ, on longe quelques murs frangés de glycines déjà fleuries, avec un ciel bleu permanent suspendu sur nos têtes. Cette randonnée s'annonce printanière, déjà presque estivale. Une montée ascendante sur un large sentier sans difficulté nous permet de longer un temps la côte, égrenant de très nombreuses criques déchiquetées, s'avançant dans la mer, du plus près au plus loin que le regard puisse porter. Nous profitons d'un magnifique décor d'azur dans un petit matin déjà au soleil. C'est un riche contraste de couleurs, juste au-dessus de l'eau, mêlant les reflets roses des rochers de l'Estérel et le bleu métallique d'une mer Méditerranée, bientôt chauffée à blanc dans le plein de l'été. On contourne ainsi le pic d'Aurelle, le long du vallon éponyme, à la rencontre du col de l'Evêque.  Non loin de celui-ci, nous progressons sur d'étroits sentiers, au milieu des riches senteurs d'herbes du Sud. Mille parfums nous assaillent et c'est une infinité de parfums et de fragrances que nous engrangeons à jamais. Parvenus sur la route du col des Lentisques, nous la traversons à la hauteur de la baisse des Sangliers pour effectuer une boucle autour du pic de l'Escale. Nous progressons alors sur une piste confortable, en faux plat montant, idéalement faîte pour la rando santé, seulement émaillée par une chute de Roger, à plat dos, heureusement amortie par son imposant sac à dos. Roger égrènera sur le reste du parcours un peu de son précieux sang ! Nous marcherons sur un sentier comme suspendu en plein ciel, avec en vis-à-vis le sommet de l'Uzel et le pic de l'Ours. Parvenus à la baisse orientale, nous sacrifions à la « pause banane ».  Ici, le pic de l'Escale s'enfonce, tel un rostre, dans les lisières du ravin du Mal Infernet, peuplé de tours de pierres ruinées et de flammes de pierre pétrifiées. Seize, enfin, comme la température ambiante à notre arrivée au col des Lentisques avant d'entreprendre la périlleuse descente du ravin Cazal de Bœuf qui doit nous ramener à la gare du Trayas. Le sentier, largement dégradé, demande d'infinies précautions et, gageons que ce final a certainement fait monter largement la température sous certains crânes. Au final, une randonnée de 10 km700 pour 300 m de dénivelé, bouclée en un peu moins de 4 h.    Bernard
  • Escragnolles-Séranon 30.03.17

    16 Escragnolles-Séranon 30.03.17
     Rando menée par François  
  • Mont-Macaron 16.03.2017

    33 Mont-Macaron 16.03.2017
    Après être restés englués dans les embouteillages sur l'Autoroute A8, nous nous sommes retrouvés à 14 participants dans un calme retrouvé et le plaisir d'être à nouveau ensemble au col de Châteauneuf (627m). Ce sera le point de départ d'une randonnée en boucle qui démarre dans la fraîcheur encore bien présente d'un matin d'hiver mais dans le plein soleil d'un printemps approchant.   Ce fut une agréable randonnée, un voyage dans l'espace, en parcourant les crêtes du Mont-Macaron, et dans le temps, avec une longue errance dans les ruines du château médiéval de Châteauneuf. Partis du col de Châteauneuf, nous côtoyons d'abord les ruines du château éponyme que nous explorerons plus en détail sur le chemin du retour. Nous sommes saisis à froid par un départ raide, pierreux à souhait.   On suit ensuite un agréable chemin, bordé d'arbustes et de chardons lumineux.   Un sentier d'herbes moelleuses, entre broussailles, genêts et pins maritimes serpente vers les ruines où minéral et végétal s'entremêlent et au milieu desquels il faut se frayer un passage sur des pierres usées par les siècles. Entre les arbres, les créneaux de la vieille tour médiévale ont encore fière allure et déclenchent à l'envi notre imagination enfantine. Après être passés devant la chapelle Saint-Joseph (710m), remarquablement restaurée, nous progressons alors à travers la garrigue, une forêt de chênes et des bosquets de romarin en fleur. Le site a pour écrin les cimes du Mercantour d'un côté et la mer Méditerranée de l'autre.   C'est en tout cas un site féerique, propice à l'imagination et à la rêverie. Le panorama est grandiose. Telle une proue de navire, la crête aérienne du Mont- Macaron s'effile vers le Sud avec à la clé une découverte exhaustive de l'ancien Comté de Nice dont les villages ponctuent vallées et collines autour de la capitale azuréenne. C'est ici que nous sacrifierons à la « pause banane ».  Le sommet du Mont-Macaron (806m) permet un tour d'horizon complet sur la vallée du Paillon de Contes, toute proche, et sur celles, plus lointaines, de l'Estéron, de la haute Tinée et de la haute Vésubie. Le sommet sud (797m) fait découvrir l'agglomération niçoise et la Baie des Anges. Parvenus à la Baisse du Macaron (673m), on prend le chemin du retour vers l'ancien village fortifié de « Castel Nuovo ». Pause pique-nique et sieste au soleil sur le grand pré jouxtant la chapelle Saint-Joseph. Perchées à 750 m d'altitude sur une éminence stratégique, les ruines romantiques de Châteauneuf, avec ses pans de murs prisonniers d'un cercueil de lierre, évoquent des périodes troublées du haut Moyen Âge. C'est un imposant vaisseau de pierre échoué en sentinelle à l'entrée du Mont-Macaron. Fortement ancrée sur son éminence ; c'est une vigie qui regarde encore les siècles à venir. Dans les habitations à ciel ouvert, apparaissent les cheminées et les niches qui servaient à ranger la vaisselle et les provisions. Des boyaux, des couloirs étroits et obscurs sont autant de retraites souterraines servant de magasins et de cachettes pour aboutir à des cavernes, véritables repaires troglodytes.  Après avoir visité les ruines, le retour aux voitures nous replonge brutalement en plein 21ème siècle, non sans avoir la nostalgie du temps des troubadours et, surtout, de l'amour courtois. Randonnée au soleil de 8,500 km pour un dénivelé de 280 m.   Bernard
  • Circuit de Malvan - 09.03.2017

    29 Circuit de Malvan - 09.03.2017
    Rando menée par Marie-France Pedrazzoli
  • Pic et Col du Baladou 09.03.2017

    9 Pic et Col du Baladou 09.03.2017
    Quatorze personnes sont parties au matin du 9 Mars du parking du col de Belle Barbe pour une randonnée de 10 km avec un dénivelé de 230 m. Nous étions 7 femmes et 7 hommes. La parité était donc parfaitement respectée. Nous sommes d'abord montés jusqu'au col Aubert en contournant le pic du Baladou, puis nous avons entrepris une longue descente malaisée jusqu'au ravin du Mal Infernet, le passage en rive gauche s'effectuant sur une étroite passerelle métallique.  Dès lors, nous marcherons sur un large et confortable sentier qui longe le fond du ravin.  Du fond du ravin jaillissent des murailles déchiquetées de roches rouges.  Les pentes sont hérissées de pics et de tours de pierre.  Ici tout est dent, tout est dard, crochet, lance, tout est lacis de barbelés factices qui réclament la plus grande vigilance. Tout au long du ravin, c'est un formidable déroulé de pics et de ravins dont les pentes sont entrecoupées par de larges cônes d'éboulis.  Partout, des donjons de pierre surgissent des profondeurs du ravin. Tous ces colosses parlent le même langage, poussent la même incantation : c'est le chant profond de la terre.  Un faux plat montant nous amène à un gué, aujourd'hui à sec, en aval du déversoir du lac de l'Ecureuil, qui permet de repasser en rive droite. Le lac est un rêve évanoui, encore vivant dans la mémoire de quelques-uns. C'est ici que nous sacrifierons à la traditionnelle « pause banane » devant « feu » le lac de l'Ecureuil. Une longue montée nous conduit, en contournant le mamelon des Aulnes, le long du lac de l'Ecureuil, sur un replat en direction de la baisse de la Grosse Vache que nous quittons pour longer le ravin de Mathieu et plonger de nouveau vers le ravin du Mal Infernet.  Le sentier est étroit et souvent masqué par des buissons broussailleux qui ont pu quelquefois griffer nos jambes. Cette descente s'avérera assez technique avec quelques passages passablement engagées que toutes et tous ont courageusement et vaillamment surmontées. Le retour au parking du col de Belle Barbe se fera en suivant le ravin, non sans avoir pu admirer en chemin le lac du Grenouillet, qui est bien vivant, lui.  Au long du chemin, nous sommes passés près de plusieurs sources fluides et mystérieuses dont un clair filet coulait dans le creux d'une pierre excavée pour le recueillir précieusement.  Ce fut une randonnée minérale dans l'ambiance et les effluves encore discrètes d'un printemps approchant, une randonnée parfaitement joyeuse et conviviale.    Bernard
  • Rastel d'Agay - 02.03.2017

    19 Rastel d'Agay - 02.03.2017
    Nous sommes partis à 9 h de la pointe de l' Observatoire  en direction du Rocher St-Barthélémy  où  nous nous sommes  dirigés vers le St-Pilon en traversant un pierrier. Là, nous avons fait une pause.  Nous sommes descendus ensuite par un petit sentier face à la mer pour arriver sur la route d'Anthéor. Après une progression sur 450 m, nous avons pris sur notre gauche une piste pour atteindre un oratoire (dédié à St-Honorat) et de là, nous avons emprunté un sentier toujours à gauche pour rejoindre le Rastel d'Agay. Le beau temps nous a permis de profiter d’une magnifique vue. Le retour s’est effectué par la route goudronnée jusqu'au Rocher St-Barthélémy pour récupérer enfin le sentier de l'aller. Nous étions 13 participants pour une agréable randonnée de 13,6 Km et 380 m de dénivelé avec de beaux paysages.   Sophie  
  • 1/2 traversée Estérel - 23.02.17

    23 1/2 traversée Estérel - 23.02.17
    Pour la randonnée du Jeudi 23 Février dont le thème était la demi-traversée de l'Estérel, nous avons eu l'insigne privilège de profiter d'une conduite bicéphale avec François comme chef de bande et Raymond comme principal acolyte pour diriger les quelques variantes imaginées au gré du chemin. Nous fûmes 18 au départ de cette randonnée, non sans quelques variations de ce nombre suivant les heures de la journée, certains étant venus à notre rencontre, dûment véhiculés, à la descente du Pic de l'Ours ; et Pierre, en bon samaritain (et en 4X4 !), nous ayant rejoints à hauteur du Pic Martin, chargé de forces liquides au moment de la pause déjeuner. Partis en train de la gare de Théoule jusqu'au Trayas, nous avons pris un aller simple (sans retour) qui nous a ramenés, à travers une partie de l'Estérel et à pieds, à Théoule. A partir du Trayas, nous avons progressé sur un méchant sentier, complètement dégradé, pour rejoindre le col des Lentisques au-dessus du ravin Cazal de bœuf. Nous nous sommes arrêtés à mi ombre, mi soleil, avec une température fraîche mais idéale pour marcher au cœur de l'hiver, afin de sacrifier à la traditionnelle « pause banane » à proximité de la grotte de l'Uzel. Nous avons été plongés dans un monde de camaïeu de vert d'une infinie tendresse qui annonce l'arrivée prochaine du Printemps tandis que, ici et là, des bouquets de mimosas perpétuent inlassablement un joyeux flamboiement qui nie l'hiver. Parvenus sous la Dent de l'Ours, dont l'état sanitaire laisse à désirer (je veux parler du sentier !), les plus « gros mollets » se sont lancés à l'assaut du pic de l'Ours tandis que les « petites jambes », quant à elles, se sont contentées de rallier le col Notre-Dame, puis le pic Martin où nous avons pu nous établir sur un replat accueillant et au soleil pour contenter nos estomacs qui, depuis un long moment déjà, réclamaient pitance. Le retour vers Théoule, après le déjeuner, se sera déroulé sans encombre, mais non sans une nouvelle variante à l'initiative de François qui a, véritablement, une imagination débordante mais, surtout, une connaissance sans faille du massif de l'Estérel. « La marche est une bibliothèque sans fin qui décline chaque fois le roman des choses ordinaires placées sur le chemin. » Bernard (d'après une idée originale de François).    
  • Rando raquettes les Launes - 16.02.2017

    15 Rando raquettes les Launes - 16.02.2017
      Après une météo incertaine ces derniers temps, le retour du soleil est annoncé pour jeudi. C'est l'occasion de prévoir une sortie raquettes, d'autant que la neige est également peu abondante.  Ce sera sur le plateau St-jean-aux-Launes. Après les retrouvailles au Carrefour Market- Mandelieu, direction Nice par l'autoroute pour continuer par le 202 bis vers la vallée du Var.  Petite pause-café à Touët-sur-Var et poursuite du trajet vers Beuil via les Gorges du Cians, site toujours aussi magnifique. A la sortie des gorges, la masse blanche du Mt-Mounier avec ses 2800 m nous apparaît et semble nous écraser de tout son poids. Passage au pied de la cité de Beuil pour atteindre assez rapidement le parking des Launes et la Chapelle Ste-Anne, point de départ de la randonnée. Le départ effectif de la marche se fera après un petit parcours sur la route pour atteindre les pistes enneigées. Après avoir chaussé les raquettes le petit groupe - nous ne sommes que 5 - entame l'ascension vers le plateau st Jean. Celle-ci est agréable et facile. Le temps est magnifique, pas l'ombre d'un nuage dans un ciel bleu d'azur. Il en sera ainsi toute la journée. La marche se poursuit jusqu'au bout du plateau, plus loin en contrebas c’est le vallon de Challandre et la forêt de Tailler sur l'autre rive. Très belle vue également sur la cime de Gialorgues 2100m de l'autre côté des gorges du Cians. Demi-tour pour revenir et monter à la chapelle St jean Baptiste (XIX e) 1750 m où nous pique-niquerons au soleil face à un superbe panorama enneigé. Le retour se fera hors-piste, à travers de vastes espaces enneigés et toujours sous un soleil de plus en plus chaud et un ciel toujours aussi pur.  Arrivés tôt aux voitures, il est décidé d'aller visiter la station de Valberg toute proche.  En route direction Valberg atteint en 20 mn et que nous traversons jusqu'à la sortie vers Guillaumes ; arrêt à la table d'orientation au bord de route. De là nous pouvons admirer, depuis la chaine de montagnes au-delà du Var, les sommets du Mont St-Honorat (2500m) les Aiguilles de Pelens et en poursuivant notre tour d'horizon vers le nord le col de Crous, la tête Nègre et sous un autre angle le Mt Mounier. Un panorama époustouflant de beauté et de blancheur.   Et c'est le retour vers Nice et Cannes. La rando est terminée…ou presque... confortablement installés au soleil à la terrasse d'un café nous profitons d'un moment de détente pour partager le pot de l'amitié et mettre un point final à cette belle journée. Grace au temps merveilleux que nous avons eu, la première rando raquettes de la saison a procuré beaucoup de plaisir aux participants. François  
  • Les Pradineaux au Muy - Jeudi 16 février 2017

    30 Les Pradineaux au Muy - Jeudi 16 février 2017
    Après une consommation, forte mais bien maîtrisée, du « jaune » à Tanneron il y a quinze jours, nous sommes venus fouler sous nos pieds les terres de « Bacchus » au château du Rouët au Muy. Dans les lointains, on devine la Méditerranée à ses reflets d'acier qui brillent au soleil. C'est l'Hiver et les vignes sont encore en dormance pour longtemps. Les ceps sont comme mutilés, réduits à des moignons, mais une vie souterraine est déjà en gestation qui explosera bientôt avec le Printemps, et nous ne pouvons souhaiter qu'alors « les fruits tiendront la promesse des fleurs ». Nous partons dans le plein ouest jusqu'à une stèle commémorant la mort « accidentelle » d'un chasseur. Avant d'y arriver, nous marcherons longtemps au-dessous d'une longue et imposante barre rocheuse, composée de rhyolite, apparentée aux rochers rouges de l'Estérel, profondément échancrée par de sombres dépressions, comme d'importantes blessures dans un monde entièrement minéral. La randonnée se déroule au travers d'un très vaste plateau, largement débroussaillé, parmi des chênes lièges et des chêne kermès, entrecoupé de vallons successifs et traversé de plusieurs ruisseaux que nous franchirons à gué et qui alimentent plus bas la rivière l'Endre. On traverse une nature largement maîtrisée et très bien entretenue par la main de l'homme. Plus loin à droite, une piste nous conduira vers le pic Rébéquier, à l'aplomb duquel nous sacrifierons à la traditionnelle « pause banane ». En dessous du « Pas des Vaches », on rejoindra le G.R.51. Une descente continue nous conduira sur un vaste pré qui nous offrira son tapis d'herbe tendre pour la pause déjeuner au bord de l'Endre. Il n'y manquera que la présence des deux chiens qui accompagnaient jadis les randonneurs sur la totalité du circuit. Ils ont été, hélas, atteints par la limite d'âge. Le retour se fera via la piste des Pradineaux, la piste des pins parasols, présents ici en nombre, puis la piste des Corbières et la stèle vue à l'aller. La randonnée se terminera par une courte visite du château du Rouët, magnifique bâtisse du début du 19ème, d'inspiration italienne.  Le cadre est idyllique et l'environnement bucolique avec son grand bassin, les nénuphars et les lotus, l'imposant jet d'eau au centre du parc, sa source et ses fontaines, ses grands arbres vernaculaires et, d'autres, plus exotiques, dans une ambiance à la fois romantique et impressionniste, face au massif des Maures et au rocher de Roquebrune. Pour bien finir, une visite s'impose au caveau de vente des vins du château, classés en A.O.P. Côtes de Provence. Gageons que quelques « becs fins » garderont un souvenir ému de leur visite à la cave viticole en dégustant bientôt quelques-unes de leurs bonnes bouteilles. Ce fut une randonnée à l'ambiance festive et légère, comme celles qui nous attendent et nous raviront avec l'arrivée prochaine du Printemps. Au total, une randonnée de 12,400 km – 250 m de dénivelé – 4 h30 de marche - 23 participants dont 4 mineurs.       Bernard « Puissent les vallées être vos rues et les verts sentiers vos allées afin que vous puissiez vous chercher les uns les autres à travers les vignes et revenir avec les parfums de la terre dans vos vêtements. » (Khalil Gibran)  
  • Grand Duc - 16.02.2017

    11 Grand Duc - 16.02.2017
    8 km environ – 220 m. de dénivelé – 26 participants - Après le regroupement habituel à la Porte de l'an 2000 de Théoule, les 26 randonneurs se sont retrouvés sur le parking à l'entrée du « Parcours Découverte de la forêt du Grand-Duc ». C'est par un beau soleil printanier et une température très agréable, que la petite troupe s'est élancée, joyeusement, dans le massif du Tanneron après quelques consignes de Pierre, notre cher guide. Quel beau spectacle ! A chaque détour de chemin apparaissaient de nouvelles touches de jaune du mimosa, encore plus lumineux sous le soleil ! Durant quelques centaines de mètres, nous avons longé la route pour voir la stèle érigée en mémoire de la disparition de l'épouse et des 4 enfants de Martin Gray, lors du terrible incendie du 3 octobre 1970, qui a ravagé une partie du massif du Tanneron. Après la traditionnelle « pause banane », nous avons repris la descente vers le parking par la piste des Fenouillers. Le groupe s'est quitté vers 11 h 45 en se donnant RV à la prochaine sortie, le 23 février.    Brigitte
  • Tanneron - 02.02.17

    27 Tanneron - 02.02.17
    Nous étions 24 et c'est sans modération que nous sommes venus nous enivrer du « JAUNE » du Tanneron (c. à d. le mimosa), de sa lumière étincelante et de son parfum, à la fois subtil et entêtant.  Partis du parking de Tanneron, une boucle dans le village nous permet de profiter d'un magnifique panorama englobant tout l'est du département, avant que nous ne plongions vers le fond des vallons à la découverte des mimosas, abondamment fleuris cette année. Le mimosa, aux fleurs exubérantes, embaume aujourd'hui l'hiver. Des myriades de fleurs couleur d'or tapissent les branches des arbres ; des étincelles flamboyantes éblouissent les yeux. Les parfums sucrés du mimosa envahissent l'espace ; des senteurs uniques se répandent et les fleurs explosent en bouquets remplis de luminescence. Les mimosas dessinent des panaches de lumière sur l'horizon de l'hiver.  Arrivés en fond de vallon, un ruisseau se laisse facilement franchir par un passage à gué. De courtes grimpettes et d'autres descentes nous mèneront vers deux autres ruisseaux avec autant de passages à gué. Parvenus au fond d'un autre vallon, une variante en aller-retour nous a permis de suivre un autre ruisseau (peut-être le même ?), qui en descend tout au long, tantôt calme et apaisé entre des rives ensablées, tantôt rapide, s'insinuant et s'infiltrant dans un chaos de blocs rocheux, très profond, qui prend alors l'allure d'une gorge.  Revenus au départ de la variante, non sans avoir de nouveau traversé plusieurs gués sur le ruisseau, nous nous sommes dirigés pour finir vers le village par une montée raide et continue (135 m de dénivelée), seulement interrompue par une pause déjeuner, bienvenue, sur une plate-forme aux deux tiers de la pente, avec en vis à vis les crêtes du Cheiron, pour lesquelles nous avons pu rêver d'un prochain parcours de randonnée.  Une dernière montée dans les mimosas nous a permis de revenir à Tanneron-village où nous avons pu conclure la fin de la randonnée au « restaurant des voyageurs », le bien nommé, en partageant un pot final, convivial et chaleureux.  En résumé, une randonnée de 11 km 300 pour 280 m de dénivelée et 4 h de marche.     Bernard.   P.S. « Les grand-mères, c'est comme le mimosa. C'est beau, c'est doux, mais c'est fragile... » (Marcel Pagnol)  
  • Maubois-Anthéor 26.01.17

    19 Maubois-Anthéor 26.01.17
    Départ de la pointe de Maubois après la « maison brûlée ». Au départ, la montée jusqu'à la croisée des pistes est assez délicate ; mais ensuite, après avoir pris la piste à gauche, le sentier est très facile et agréable jusqu'à la route ST-Barthélemy.  Nous avons prolongé le parcours jusqu'au début du plateau d’Anthéor pour revenir ensuite sur notre point de départ : donc, un aller-retour avec une très belle vue sur la mer et les fameux rochers orangés de l'Esterel. Nous étions 11 personnes dans une randonnée sympathique de 10 Km avec 250 m de dénivelé.    Sophie
  • Grotte St-Honorat 19.01.17

    16 Grotte St-Honorat 19.01.17
    11 Km de distance - 350 m de dénivelé - 20 participants.   Temps couvert et froid .  Sophie           
  • Gorges de l’Avellan 19.01.17

    14 Gorges de l’Avellan 19.01.17
    Par un matin glacial de Janvier, nous voici onze, dûment couverts, chaussés, coiffés, à entamer une randonnée vers les gorges qui occupent le bassin versant du lac de l'Avellan. On commence par une descente raide, malaisée, piégeuse, que la persistance de plaques de glace a rendue glissante et, parfois périlleuse. Nous arrivons alors sur les berges du lac de l'Avellan en partie pris dans une épaisse gangue de glace qui ourle et festonne ses rives. Sur le lac, plusieurs couples de canards colvert laissent derrière eux un sillage éphémère. Sur le sentier autour du lac, une nappe de glace se déroule et scintille d'une blancheur de lis. La nature entière est réduite à une épure, caparaçonnée de silence et de givre, reliquat d'un ancien orage de grêle. Nous descendons ensuite les gorges de l'Avellan, entre deux versants abrupts, mouchetés de blanc, reliquat de la dernière averse de grésil. Le cri esseulé d'un « geai » au-dessus de nous perce le silence. Un « gekko », pétrifié par le froid, gît au milieu du chemin. Un sentier tortueux nous conduit aux ruines des mines de l'Avellan, fermées en 1970, d'où était extraite la fluorine. Certains participants du jour en rapporteront des cristaux caractéristiques, petits mais très beaux. Les galeries sont maintenant effondrées ou condamnées ; elles n'abritent plus que des colonies de chauves-souris. Au sortir des gorges, après une « pause banane » au soleil, deux montées sévères, pentues à souhait, idéales pour nous réchauffer, permettent que nous revenions à la hauteur du col du Testanier que nous avions quitté trois heures plus tôt. Nous aurons parcouru en tout un peu plus de 8 kilomètres pour 280 mètres de dénivelé. Cette randonnée heureuse nous a permis de goûter le temps qui passe et de faire un détour d'existence pour mieux se retrouver au bout du chemin.   Bernard
  • Le Peygros - 12.01.2017

    12 Le Peygros - 12.01.2017
    Randonnée animée par Régis.
  • Calern - Galette 05.01.2017

    21 Calern - Galette 05.01.2017
      16 participants à la rando menée par François et 20 gourmands qui ont partagé la galette 2017   !

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