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Mars 2019

Pic d'Aurelle - 07.03.2019

Jeudi 7 mars 2019, sous un ciel lumineux et une température déjà presque printanière, nous sommes 12 membres de T.E.R.R.E. qui partons de la gare du Trayas pour une randonnée en boucle de 9 km pour 300 m de dénivelé devant nous conduire au sommet du pic d’Aurelle (323 m), aux bons soins de Régis en tant qu’animateur.

Nous nous retrouvons à plusieurs groupes de plusieurs associations qui remontons le « maudit » sentier, caillouteux au-delà du raisonnable, du « ravin de Cazal-de-Bœuf » pour aboutir, heureux mais déjà bien fatigués, au col des « Lentisques » (263 m) où chaque groupe suit son propre chemin tandis que nous nous arrêtons pour une « pause banane » bienvenue.

À partir de là, un étroit sentier, bordé notamment par nombre de « lavandes papillons », déjà en fleurs, des mimosas, proches de leur terme, sauf le mimosa « chenille » encore bien fleuri, des « asphodèles » en début de floraison, qui marquent la prochaine éclosion du Printemps, va nous conduire jusqu’au pic d’Aurelle. Parvenus sur le plateau sommital, bordé d’immenses roches volcaniques de « rhyolite» rouge, entourées de profonds précipices, nous pouvons profiter, malgré une brume tenace qui noie les lointains d’un extraordinaire panorama à 360°  sur tout le massif de l’Estérel, au plus près, et sur les différents caps au-delà de la baie de Saint-Raphaël et d’autres jusqu’à l’Italie au-delà de la baie de Cannes.

Viendra ensuite une lente descente par le vallon d’Aurelle, en contournant le pic éponyme par le Sud, qui nous permettra de traverser encore quelques ravins pour revenir enfin aux voitures après une randonnée, belle et heureuse, 3 heures plus tard.

Bernard

 

½ traversée de l’Estérel - 14.03.2019

Un saut de puce en train nous conduit de la gare de Théoule à celle du Trayas d’où une lente pérégrination à travers quelques lieux remarquables de l’Estérel nous permettra de rejoindre la ville d’où nous étions partis « dès potron-minet ».
18 postulants sont inscrits pour cette « demi traversée de l’Estérel » qui pourrait cumuler quelques 13 km pour 300 m de dénivelé « à la louche », sous un soleil radieux et une température idéale qui nous fait douter que nous soyons encore en hiver.
C’est d’abord la longue et difficile montée le long du ravin « Cazal de Bœuf » qui nous permet d’atteindre, après 240 m de dénivelé d’une progression hasardeuse, périlleuse et quelque peu ébrieuse pourrait-il sembler à première vue, le col des Lentisques.
Il n’y aura plus dès lors de réelles difficultés jusqu’au « Collet des Monges », tout proche du retour, où nous devrons négocier une descente particulièrement difficile sur un sentier très pentu et complètement dégradé.
Auparavant, après la « pause banane » que nous prendrons au-dessus de la grotte de l’Uzel, face à la « Baisse des Sangliers », un sentier confortable exposé mi ombre, mi soleil, bordé d’une infinité de lavandes « Papillons », nous conduira au pied de l’imposant monolithe de la « Dent de l’Ours », sous le pic éponyme (que personne ne daignera gravir !).
De là, nous descendrons sur le GR  653A jusqu’au « col Notre-Dame » avant d’atteindre le « pic Martin » où nous serons rejoints par Pierre (et en 4x4, s’il vous plait !) pour une pause déjeuner conviviale, grâce aux liquides généreusement apportés par notre « bon Samaritain » du jour.
Après la traditionnelle photo de groupe, le retour vers Théoule nous amènera à passer d’abord sous les « Petites Grues », puis devant une résurgence d’eau claire et fraîche de la source de la « Cadière », et enfin non loin d’un des lieux de nourrissage des sangliers, grâce aux précieuses indications de Raymond, avant que nous n’empruntions, via le col du Trayas, cette « foutue » descente du « Collet des Monges », avant un « retour à la maison ».    Bernard

« A la fin de l’hiver, sous la lumière inquiète, viendra l’olivaison. Sur ma face levée vers toi sauteront les petits fruits noirs et lisses. La jouissance est une pluie fraîche. »   (Albert Camus.)

Jeudi 21 mars 2019 – Rando Les Gorges de l’Avellan

« Bis repetita placent ».
C’est la même soif inextinguible d’aventure, de dépaysement, de découverte et de connaissance qui nous a ramenés une fois encore aux rives du lac de l’Avellan pour explorer de nouveau ses gorges éponymes.

Nous sommes 19 participants, animés de la même soif de partage et de convivialité, à démarrer du col du « Testanier » (312 m) pour une randonnée en boucle de 8 km pour 280 m de dénivelé.
La nature émerge lentement de sa léthargie hivernale. La symphonie du renouveau du Printemps commence peu à peu à se jouer, d’abord sur un mode mineur dans un camaïeu léger de couleurs pastel et d’imperceptibles parfums avant d’exploser en mode majeur dès que la hausse de la température ambiante pourra les sublimer à leur meilleur.
Une descente quelque peu ardue, encombrée de nombreux rochers, depuis le col jusqu’aux berges du lac (173 m), nous introduit au monde tel qu’il put être 250 M d’années en arrière. Véritable paradis pour les géologues, le « Graben » de l’Avellan (fossé tectonique d’effondrement entre deux failles) nous dévoile, particulièrement ici, les différentes strates d’une prodigieuse histoire immémoriale.
Nous longeons la partie orientale du lac où quelques pêcheurs s’adonnent déjà à leur frétillante passion (carpes, perches, sandres, brêmes), pas toujours récompensée, puis franchissons le gué qui, au moment des pluies diluviennes, sert de déversoir au lac.
C’est ici la porte d’entrée des gorges dans lesquelles nous allons progresser tout au long d’un étroit sentier passablement dégradé et semé d’embuches sous la forme de quelques chaos rocheux.
Au débouché des gorges, nous attendent des ruines, encore impressionnantes, quoique envahies par la nature, qui témoignent d’une importante activité humaine ancienne. Il s’agit de mines de fluorite, fermées depuis 1971, d’où furent extraites 40.000 tonnes de minerai. Aujourd’hui, seules les chauves-souris hantent les lieux, totalement condamnés pour des raisons de sécurité, mais où une « chiroptière » (sorte de « chatière ») leur a été aménagée afin qu’elles puissent aller et venir à leur guise.
Sortis des gorges, nous nous installons sur les talus de la piste de l’Esquine pour la « pause banane ». Nous la quitterons quelques centaines de mètres plus loin pour une autre piste étroite, pentue et très encombrée, qui nous ramènera un peu plus tard, fourbus mais heureux, à notre point de départ du matin.
Ainsi s’est achevée la randonnée de la demi-journée du premier jour du Printemps, belle et particulièrement ensoleillée.   Bernard

Mardi 26 mars – Rando Canal de la Siagne

Rando-Santé le long du Canal de la Siagne à partir de la Chapelle St-Mathieu.
18 personnes pour un parcours de 6,8 km le long du Canal de la Siagne, dans un environnement de végétation réchauffée par ce soleil printanier qui provoque le gonflement des bourgeons et l’épanouissement des premières fleurs.    Pierre

Samedi 30 mars 2019 - Marche Nordique - Berges de la Siagne

Sortie hebdomadaire du groupe Marche Nordique de T.E.R.R.E.

Parcours Berges de la Siagne – 7 kilomètres.

Arbres en fleurs, ambiance printanière et bonne humeur, comme d’habitude !   Jean-Robert

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